Annor Nimako, the River’s power, Tema (Ghana), Rona Publisher, 2010, 474 p.
Début composition (enjeu situé / description création)
Texte en français
Un barrage est construit sur la rivière Volta à Akosombo au Ghana. Ce roman raconte le contexte du projet de barrage, les subtilités du financement international, les problèmes de construction et la réussite remarquable de la production d’énergie hydroélectrique, mais également l’immense problème humain que cela entraîna : la réinstallation de milliers de personnes déplacées, chassées de leurs maisons ancestrales par le lac de retenue. The River’s Power est un livre sur les idéaux d’un peuple, sur ses aspirations, sur ses espoirs, sur ses sacrifices et sur ses réalisations remarquables.
Texte en anglais
A dam is built on the Volta River at Akosombo in Ghana. This novel recounts the context of the dam project, the intricacies of international financing, construction problems and the remarkable success of hydroelectric power production, but also the immense human problem that this entailed: the resettlement of thousands of displaced people , driven from their ancestral homes by the reservoir. The River’s Power is a book about a people’s ideals, their aspirations, their hopes, their sacrifices and their remarkable achievements.
Fin de composition (enjeu situé / description création)
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Début composition (création)
Texte en version originale
Version originale
Original version
« I know that my country must have this dam, » Enyonam Agbeko said. « I’m reconciled, though the land I farmed for forty years is now flooded. My father and my grandfather and even his father farmed that land before me. » He shook his head and swallowed quickly as if there were a lump in his throat. “But, » he continued, “I cannot look at this lake without crying. »
Texte en français
Traduction française
« Je sais que mon pays doit avoir ce barrage », déclara Enyonam Agbeko. « Je l’accepte, même si les terres que j’ai cultivées pendant quarante ans sont désormais inondées. Mon père, mon grand-père et même son père ont cultivé cette terre avant moi. » Il secoua la tête et déglutit rapidement comme s’il avait la gorge nouée. « Mais, poursuivit-il, je ne peux pas regarder ce lac sans pleurer. «
Fin de composition (création)